Malamander de Thomas Taylor

Les chroniques de Sinistre-Sur-mer

Pour lectrices et lecteurs à partir de huit ans.

Malamander de Thomas Taylor

J’aime les histoires de monstres. J’adore Godzilla, je kiffe le Kong (pardonnez-moi les jeux de mots vaseux, svp, parfois je craque).

J’aime aussi les histoires aux noms insolites, aux professions imaginées, aux endroits perdus, aux personnages incongrus, aux inventions effrayantes. Bref, vous voyez ce que je veux dire.

Dans Malamander, il y a tout cela. Un des personnages principal est TROUVEUR d’OBJETS EGARES. Vous vous rendez compte ?

Imaginez une minute :

— Allo la SNCF, j’ai perdu mon parapluie en peau de nounours dans un train vers Trifouillis les oies.

 — Pas de problème, on met notre meilleur.e agent.e sur le coup.

Génial non?

Dans ce livre Herbert, le fameux Trouveur d’Objets Egarés vit à Sinistre sur Mer. Il aide une jeune fille prénommée Violette à retrouver ses parents.

Mais sauf qu’il y a un monstre, même plusieurs, des vrais, des pas beaux, des beaux, certains qui ressemblent à des fantômes, d’autres qui pondent un oeuf magique et tout ce que cela implique en terme de bâtons dans les roues ou dans les bottes.

Le meilleur dans tout cela, c’est la bibliothèque (enfin à mon avis).

La trame de l’histoire simple est agréablement bien servie par un univers fantasque. Ce roman se lit vite, et se dévore même comme a écrit un journal américain bien connu. Pour un livre de monstre, on en attend pas moins.

Priss