Apprendre à lancer son livre sur le net et aimer ça grâce au Summer camp de Nathalie Bagadey.

Apprendre à lancer son livre sur le net et aimer ça grâce au Summer camp de Nathalie Bagadey. 1

Que ce soit un roman de dark-fantasy ou un ouvrage qui compile les meilleures recettes de pâte à sel, un livre a besoin d’aide pour se faire connaître particulièrement en auto-édition. Pour cela, vivre dans un monde connecté devient donc un avantage. Le Summer camp de Natahalie Bagadey vous en trace la route.

Lancer son livre sur le net : un défi à relever

Comment organiser le lancement de son livre sur le net ? À quelle date et pour combien de temps en amont ? Vers quelles lectrices ou quels lecteurs ? Quels objectifs atteindre ? Comment les mesurer ? Bref, du marketing pour résumer grossièrement. Et ce n’est pas évident pour tout le monde, car c’est un monde qui peut faire peur et peu attrayant, avouons-le.

Sauf que cet été, j’ai suivi le Summer camp de Nathalie Bagadey, une formation destinée aux auteurs pour bien lancer un livre sur le net : une chouette colonie de vacances à l’ambiance chaleureuse et bienveillante.

Pourtant, je déteste les colos et autres séjours de vacances en groupe. Mais cette fois, je me trouvais derrière mon ordi dans la cuisine (comprenez près du frigo), avec pour seule compagnie mes bouteilles d’eau fraîches. Le paradis dans cette canicule. Pardon, je m’égare.

Grâce à l’enthousiasme et la disponibilité de Nathalie Bagadey, j’ai passé des bons moments à apprendre à lancer mon bébé d’écriture dans le bain d’internet. Plouf !

Pour éviter sa noyade, Nathalie Bagadey nous a appris : quand faut-il s’y prendre, comment, pourquoi et avec qui. Chaque jour, elle nous a dévoilé ses stratégies sur différents points du lancement, par exemple le prix, notre « cible », concevoir nos objectifs avec réalisme, les actions à mener, etc. Le camp s’est déroulé sous forme de live avec un « chat-miaou » où elle répondait à nos question.

Pendant quatre jours à l’heure du déjeuner, Nathalie a déroulé chaque étape du lancement : de la préparation en amont jusqu’au jour-J et même à l’analyse post évènement. Elle nous a aussi donné des tas de trucs et astuces très faciles à mettre en pratique.

Oui, Nathalie Bagadey nous a enseigné la manipulation des foules sur le web (mouaaaaaaaaa !!!!!), mais avant tout comment faire de son lancement un moment agréable et peut-être inoubliable pour l’autrice ou l’auteur.

Nous avons même pu faire partie d’une opération commando secrète très intéressante…je n’en écrirai rien de plus. N’insistez-pas. (Soyez-quand même rassuré, tous les membres ont survécu).

Summer camp for ever

Depuis, les campeurs et campeuses se tiennent au courant des avancées des lancements des unes, uns ou des autres sur un groupe privé uniquement destiné à cette aventure. Cela permet d’échanger sur les réussites, mais aussi de se soutenir quand c’est nécessaire.

Lire les retours d’expérience, les joies ou les doutes aide à se motiver, à persister. Pour ma part, ces quelque jours de camp m’ont poussé à ressortir mon dernier manuscrit des oubliettes, à oser y croire.

J’ai découvert aussi d’autres autrices ou auteurs, donc de satisfaire ma curiosité, d’élargir mon horizon littéraire, et surtout de me sentir un peu moins seule. Ce qui réconforte beaucoup dans cette pratique solitaire.

bannière facebook du groupe privé du summer camp de Nathalie Bagadey.
Bannière du groupe fb de travers mais c’est fait exprès pour mon article. Sinon la bannière est bien comme il faut en vrai sur fb. (Comment-ça cette légende est trop longue ? 🙂

À cette heure, notre « Gentille Animatrice » doit être occupée avec ses sorties de livre, ses podcasts sur l’auto-édition ou l’entrepreneuriat, et surtout l’organisation des Optimales de Livron, le salon du livre optimiste. Mais si j’ai un conseil, guettez les news sur son blog, son académie ou ses réseaux. Le Summer Camp est précieux. Peut-être qu’il reviendra l’année prochaine.

Personnellement, j’adore apprendre, progresser et que mon cerveau bouillonne même les sujets les plus ardus ou bien loin de ma zone de confort pour peu que la formatrice ou le formateur se montre pédagogue et généreuse comme cela a été le cas avec Nathalie Bagadey.

Merci super squirrel !

Ps: retrouvez d’autres billets comme celui-là sur mon blog les mains dans l’encre.

©Priss