Comme j’écris en morceaux, et que je m’éparpille, je me suis dirigée vers des outils d’écriture qui me facilitent la vie pour les mettre à leurs places. Celui qui reste à la fin, c’est Scrivener. Mon cerveau « toutenpuzzle » et moi-même devons une fière chandelle à l’équipe (Literature and Latte par ici) qui a développé ce logiciel d’écriture.
Le début d’une belle histoire
Au départ, on écrit sans trop se poser de questions en appuyant sur le « + » vert créant ainsi des pages. La suite se complexifie nettement, car les options, les réglages possibles sont multiples, mais difficiles d’accès. J’utilise ce logiciel d’écriture depuis quelques années maintenant. Je pense pourtant que je n’en connais qu’une partie. Il a fallu essayer, tapoter, râler (beaucoup), me tromper etc. En revanche jamais je n’ai regretté cet achat et j’ai toujours réactualisé les versions.
Scrivener, un logiciel essentiel
Avec Scrivener je peux glisser-déposer des chapitres entiers ou des scènes, et ainsi défaire la chronologie ou la refaire, changer d’avis en récupérant mes anciennes versions. Je peux garder mes brouillons à portée de vue au cas où…
Je peux annoter mon texte grâce à des bulles de commentaires avec plein de différentes couleurs que ce soit pour les corrections, ou les recherches à faire, ou pour mes interrogations sur certains passages.
Je peux faire des fichiers à portée de clic avec les dites-recherches. Je peux créer des ebooks, exporter sur word en fin de manuscrit ou pour imprimer.
J’ai des stats en pagaille si je veux, de quoi écrire des fiches personnages ou de lieux, et même des pages de garde toutes prêtes.…etc (liste non exhaustive). La fonction la plus utile pour mon bazar d’écriture c’est le fractionnement et la fusion de document, super pratique quand il est temps de tout mettre en ordre.
Le traitement de texte qui en fait trop
J’en oublie bien sûr, car il y en a beaucoup, mais aussi parce que je ne connais pas toutes ses fonctionnalités. C’est d’ailleurs le seul inconvénient à mon avis. Ce logiciel reste touffu, le mode emploi n’est pas le plus simple, ni le plus complet. Il faut donc y mettre ses écrits, et s’en servir longtemps avant de débroussailler.
Bref, Scrivener m’aide à ranger et à bricoler mes histoires. C’est mon placard d’écrits. Mon établi de travail.
©Priss
Ps: pour lire ce que j’écris avec scrivener, aller voir sur la machine à écrire